Située à Rosières, la ferme Terfosse est devenue la Foster Farm. On revient plus en détails sur la transformation de cet endroit en un lieu où se rencontrent les métiers de la terre, de la table et des professions intellectuelles. Un écosystème qui doit favoriser les échanges. Tour du propriétaire.
Une ruche entrepreneuriale pratiquement au milieu des champs. L’ancienne ferme Terfosse située à Rosières, le long de la E411, connait depuis quelques semaines une nouvelle vie. Cette bâtisse du XVIIIe siècle, abandonnée depuis 2019, a fait l’objet d’une profonde rénovation et d’une extension. Une initiative de la famille du Bois qui souhaitait faire revivre les métiers de la table sur ce site d’une trentaine d’hectares. On y retrouvera à terme « un écosystème éthique et durable qui rassemble des cultivateurs, des artisans et des entrepreneurs. » Pour l’heure, on retrouve surtout un coutelier, un fabricant de boisson sans alcool, un apiculteur, une céramiste, une maraichère qui s’est lancée dans la culture d’herbes aromatiques et de fleurs comestibles. « L’idée est de faire se rencontrer des métiers de la terre, des métiers de la table et des professions intellectuelles au sein d’un même lieu, explique le fondateur Louis du Bois. Chacun pouvant interagir ensemble. Ici, tant les boissons que les couteaux ou les fleurs ont par exemple un lien avec le restaurant que nous allons ouvrir en septembre. Quant au nom Foster, il a été trouvé en inversant les syllabes de Terfosse. Cela signifie dynamiser en anglais. Cela traduit bien notre philosophie.»
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Cet article a été publié dans la revue Espace-vie du mois de mai 2024 (318) de la Maison de l'urbanisme du Brabant wallon.
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